L’élagage d’arbre : de la planification à la finition des travaux


Les jouent un rôle considérable dans le maintien de l’écosystème. En plus de servir d’abri pour les animaux comme les oiseaux, ils purifient l’air que nous respirons. Au même titre que les autres êtres vivants, il est toutefois nécessaire de les entretenir. C’est surtout le cas s’ils sont plantés en jardin ou en bordure de route. Pour orienter leur développement et préserver la sécurité des biens ainsi que des personnes les entourant, il est primordial de les élaguer. Dans cet article, nous allons justement parler des étapes de l’élagage depuis la planification des travaux jusqu’à leur finition. Découvrez !

Etape 1 : la préparation du chantier d’élagage d’arbre

Une bonne préparation du chantier est essentielle pour réussir les travaux d’élagage. Pour cela, l’idéal est de solliciter l’aide d’un élagueur professionnel.

Les travaux préparatoires impliquent d’une part la sécurisation du chantier. En effet, il faudra placer dans un périmètre de sécurité défini au préalable les biens déplaçables. La chute des branches risque de les endommager.  L’accès au chantier devra également être interdit au public. Pour cela, des balises seront installées pour délimiter la zone d’intervention des élagueurs.

D’autre part, la préparation du chantier consiste à transporter sur les lieux les outils et les matériaux indispensables aux travaux. Dans le cas de l’élagage d’un grand arbre sur un terrain accessible, on aura par exemple besoin de nacelle élévatrice.

Enfin, tous les matériels de coupe doivent être soigneusement affûtés et désinfectés. Cela permet d’assurer non seulement un recouvrement parfait des plaies, mais aussi d’évier la propagation d’une éventuelle maladie.

Etape 2 : l’évaluation de l’état du végétal à élaguer

L’arbre sera soumis à un diagnostic avant son élagage. En effet, la technique de taille à mettre en œuvre dépendra de son âge, de son volume, de sa hauteur et de son essence. C’est également le cas des matériels et des outils à employer.

Cette évaluation permet en outre de déterminer la meilleure façon d’appréhender les travaux. Il est en effet essentiel d’étudier l’environnement dans lequel le végétal à évoluer. S’il est planté dans un endroit difficile d’accès, des dispositions devront être prise au préalable pour faciliter l’intervention. C’est le cas par exemple s’il se trouve à proximité d’une infrastructure. Pour amortir la chute des branches, il faudra utiliser un système de rétention pour les ramener doucement vers le sol.

Etape 3 : la coupe des branches

Avant d’être sectionnées, les plus grosses branches devront d’abord être attachées. Cela permet de les diriger facilement vers le sol. La coupe devra être faite le plus près possible du tronc de l’arbre. Néanmoins, il faut veiller à ne pas endommager son écorce.

Les travaux se poursuivent avec le dégarnissage de la partie centrale du végétal. Les branches qui poussent vers l’intérieur seront alors supprimées pour permettre aux rayons du soleil et à l’air de pénétrer dans le houppier.  

Malgré cela, il faudra se limiter à une taille douce. En d’autres termes, on se débarrassera uniquement des rameaux morts, pourris ou cassés. Pour réussir l’élagage de l’arbre, il est conseillé de le confier à un élagueur professionnel comme sur ce site : elagage-abattage-aveyron.fr.

Etape 4 : la finition  

Les travaux de n’arrêtent pas à la coupe des branches. Après la taille, il est primordial de traiter les plaies de l’arbre élagué avec un baume ou un mastic cicatrisant. Comme son nom l’indique, ce produit favorise la cicatrisation de ces blessures. Il les protège également de l’humidité qui pourrait provoquer le pourrissement du bois ainsi que des maladies.